NOUS NE SOMMES JAMAIS TOUT SEULS



Pour ceux qui:    1) se trouvent tout seuls;
                            2) dans une question de minutes le désespoir lui avait envahi;
                            3) avant que la goutte d'eau fait déborder le vase;

                            Vous n'êtes pas tout seul.

Habiter dans un bâtiment est trop difficile et quand il y a des personnes qui ne sont pas aptes, ça se devient encore pire, insupportable. J’habite au 504 et les nouveaux habitants pour le 604 arrivèrent.  Il y avait une fuite d'eau à ma salle de bains pour des visites venant de leur salle de bains. Lorsque il y avait le même dans ma salle de bains, deux ans dernières, pour le 404, j’en dépannais à l’instant, parce qu’il est une question de coexistence pacifique, mais qu'est-ce que c'est correct est correct, qu’est-ce que c’est de droit est de droit et comme Jésus disait: "Il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu".

J’allai jusqu’au syndic, il s’a communiqué avec eux et ils dirent que ils n’allaient pas faire le dépannage et donc la fuite allait se devenant pire. Je parlais avec l’habitante et elle me dit qu’elle ne dépannerait pas parce que elle était l’assistant d’une échevine, qu'elle peu s'importât et si j'eusse dérangé qui moi-même fisse le dépannage.

Comment je pourrais faire le dépannage si la fuite était chez elle?

Et elle se devinrent une bête. Je parlais avec le syndic et il n’eut pas l’autorité pour en faire payer. Désespéré, je donnai un coup de téléphone au son emploi, où elle est l’assistant d’une échevine, et autre fois elle se devinrent une bête me disant qu’elle ne ferait pas le dépannage et me menaçait d’enregistrer la conversation. Je ne fus pas impoli, elle peut enregistrer, je jusqu’à aimerais. Elle s’utilisait d’enregistrer pour me menacer.  Quand je vis que le syndic n’avais pas l’autorité suffisant pour l’en faire dépanner et elle m’offensa, je sortais désespéré.  La pire chose est quand vous agissez correctement et les personnes agissent mal avec vous, endossé par la couardise du syndic. Il est la force, il est la loi, il avait d’en obliger à dépanner et il n’en fit pas, à vouloir qu’eusse l’harmonie. Comment? Elle qui brisait ma salle de bains et elle ne voudrait payer! C’est très triste, il y a des personnes qui se complaisent en fouler aux pieds la vie des autres, à en causer désespoir, qui se trouvent les meilleurs pour être l’assistante d’une échevine, pour être au-dessous des devoirs et des obligations d’un bâtiment.

Je sortis à marcher par la rue et ça me donna un désespoir tellement grand, tellement grand pour j’avoir eu vilipendé par elle, qui se trouve meilleur qui moi, tellement humiliée dès la Révolution de 1964, encore un enfant, sentis le désir de me jeter devant un camion, ça suffit. Je dis : Dieu! Pardonnez-moi, c’est tant d’humiliation dès l’enfance, ce n’est pas laquelle que se trouve la mieux seulement pour être une assistante d’échevine qui peut marcher sur les personnes. Je ne veux pas vivre dans un monde où il n’y a pas de respect avec des autres“. Depuis qu’elle s’aménageait elle devint ma vie un enfer. Ex : bruit après le 22h, entraîner le canapé, sauter sur le canapé, des hauts talons après la 1h de matin. Au moment que j’allais me jeter devant le camion j’avisai une famille de moineaux où un malheur jetait un morceau de pain dans la rue, au milieu d'un mouvementé carrefour de la Avenida Rio de Janeiro avec la Rua Sergipe, mais aucune voiture les frappait parce qu’ils étaient si petits qui les chauffeurs ne les voient pas. Les voitures les frôlent mais ne les frappaient pas.  Il y avait l’un des moineaux qui avait resté entre les roues de la voiture. Il frappait au fond de la voiture et quand elle passait, il bombait au toit d’une maison sain et sauf.  

Je compris tout ça comme un message de Dieu. Je traversai la rue, retirai de l’asphalte les miettes du pain de sorte qu’ils eussent la même chance, mais même ainsi quelques miettes restaient dans l’asphalte, alors je priai à Dieu, à vous remercier pour les petits n’avaient eu écrasé. Je restai préoccupée pour avoir resté quelques miettes pris dans l’asphalte et donc chutait une pluie torrentiel qui lava et en dissolut. Une fois en plus je remerciai à Dieu pour ma vie e pour les moineaux qui me montrèrent que je n’étais pas toute seule.

PS: Cette histoire est vrai et a passé avec moi même, ce n'est pas une histoire fictionnel et j'en ai voulu partager pour vous mantenir l'espoir dans les situations tristes et qui semblent sans sortie.


Kátia Paes

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