DATE AVILISSANT : 02 JUILLET 1957


Aujourd’hui je complète un âge de respect, 60 ans, et je vous assure, beaucoup de souffrance. J’ai perdu les comptes de combien de fois j’ai souffert des injustices, même mes fils déjà me frappaient, aussi comme mon mari, mais savez-vous ? Je déjà suis habituée, ma mère ne me donnait jamais un bisou de bonjour, ni de bonsoir et encore moins de bonne nuit. Le seul jour qu’elle ne me frappait pas il était le 02 juillet. Alors vous pouvez dire : « Bien sûr ! C’est ton anniversaire ! » Et je vous répondrai : « Oh naïveté ! Est-ce que je suis née au même jour que son grand-père paternel, le même qui l’a élevée, qui l’a mis dans les mieux collèges parce que sa famille était très simple, ils n’avaient pas de conditions ». Alors, pour honorer le grand-père, elle ne me frappait. Il faut attendre 1 an pour n’être frappait par elle et pour le gagner un bisou. Sacrebleu ! Je ne lavais pas le visage pour 2 jours !

Aujourd’hui je comprends, je ne devais pas être né. Elle passait beaucoup la brosse dure, même avec l’argent, pour m’avorter naturellement. Pauvre Sily ! Tellement capricieuse ! Elle perdait même l’enfant ! Mais Dieu est plus grand que tout ! Mais patience, je suis ici et j’ai pris soin d’elle avec toute l’affection d’une fille. Dans laquelle heure que j’ai pris soin d’elle, je ne me rappelais pas du sang qui coulait des raclées pris avec de ceinture, des coups de brosse dans ma tête, des coups de cintre, j’ai pris une raclée avec quelque chose qu’elle avait dans ses mains. Dieu sait qui je ne mens pas, et même avec tout ça, elle me manque. Je donnerais ma vie pour être avec elle ici, mais je ne suis pas. Parfois je me prends à demander quoi j’ai fait de tellement mal pour elle ? Elle me fait me marier avec un homme que je n’aimais pas pour la raison que la pension du mon père serait divisée entre moi et elle, mais ça ne serait jamais admis pour elle.    Pour ce côté, je reste triste quand je me rappelle de ma mère, mais pour autre côté, c’est un joyeux jour, parce que j’étais à me marier à 27 juillet 1974, avec un homme que je ne lui aimais pas. Les plans de Dieu sont incontestables ! L’homme propose, mais seulement Dieu dispose et, dans ce même jour, je connus lequel que je aillerais aimer pour le reste de ma vie. Il ne méritait pas, mais qui a dit que l’amour est intelligent ? Alors le moine est fortement stupide, pauvre de lui! Car je seulement peux me rappeler que je suis à compléter 1 na en moins pour rester pré de lui, très proche, pour toute l’éternité.

Je te manque Waldemar ! Kátia. Attends-moi, j’arrive !

Kátia Paes

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